Sullivan Gabriel

FEAT. Ian SOMERHALDER

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Who are you ? PRENOM; Gabriel Josh NOM; Sullivan AGE; 18 ans DATE DE NAISSANCE; 23 janvier 1992 LIEU DE NAISSANCE; Londres, Angleterre NATIONALITÉ; Anglaise, d'origine française Je suis un Demi-Dieu

Because of you

On se connait ?

Your Description

Description physique

Comment dire... Gabriel est un beau garçon. Vraiment beau garçon. Et toutes les filles qui liront cette présentation ne diront pas le contraire, il me semble. Il est de taille moyenne, et peut paraître petit à côté d'un homme grand, mais bon, cela ne le complexe pas plus que ça. Ses un mètre soixante dix neuf et demi lui conviennent parfaitement ( quelle précision ! Haha ). Même s'il est Demi Dieu, il n'est pas Superman, ses muscles ne ressortent pas de manière parfaite, mais ils sont cependant très marqués, ce qui lui donne un certain charme quand ses veines ressortent au niveau de ses bras.
Il a des cheveux bruns, pas trop longs, qu'il coiffe de manière à ce qu'ils paraissent en bataille, alors que pas du tout ! Il lui arrive de passer sa main dedans, surtout quand il stresse un peu, et ce geste lui donne encore plus d'élégance. Il a de beaux yeux bleus qui contrastent avec la nature foncée de ses cheveux. Contrairement à toute attente, ils ne virent pas au gris quand il fait mauvais temps. La couleur varie, certes, mais reste dans les tons bleus. Jamais il ne les aura gris, et cela l'arrange un peu : il a peur de ressembler à un mort vivant avec sa peau pâle si ça venait à lui arriver !
Quant à son style vestimentaire, il dépend du lieu où il se trouve. Quand il est au camp des sang-mêlés, il s'habille comme il faut pour s'entraîner, et être plus fort. Mais s'il venait à sortir, il se rhabillerait comme lorsqu'il ne connaissait pas sa vraie nature. Beaucoup de noir, de cuir, de jean,... Décontracté, lui donnant un style mystérieux... Qui correspond parfaitement à sa nature.

Description Morale

Gabriel est presque un personnage stéréotypé. Le méchant parmi les gentils. Il est rancunier, et son aversion pour la planification fait qu'il organise rapidement des plans pour se venger ( et cela fait de lui un très bon stratège ). Il a horreur qu'on le critique. En fait, il préfère encore qu'on le fasse dans son dos, plutôt que devant lui : personnage assez spécial, il faut l'avouer. Mais même s'il planifie ses mauvais coups, il reste imprévisible. Impossible de savoir ce qu'il va faire tant qu'on ne l'a pas vu s'exécuter... C'est un peu déroutant.
Si, il y a certaines choses qu'on peut deviner : si vous faites quelque chose qui a l'air secret, il va venir y fourrer son nez, et renifler jusqu'à savoir ce que vous faites. Si vous vous disputez avec lui, il ne lâchera pas l'affaire, sauf s'il en a marre, et qu'il considère que vous êtes un idiot. Si vous êtes une fille au physique avantageux, il essayera de vous séduire. Il y arrive assez facilement dans le sens où plus de la moitié des filles le trouvent craquant... Pour suffire à ses besoins, tous les moyens sont bons : un humour particulier, une belle démarche, un sourire en coin,... Mais quand on le connaît bien, on sait qu'il ne tient pas en place : hyperactivité plus perfectionnisme, ça fait mal.

Once upon a time

Père Castor raconte-moi une histoire !

Your life

« Bonjour. Je me présente, je suis Gabriel Sullivan. Enfin... Gabriel Josh Sullivan, et non Père Castor. Je n'affectionne pas tellement mon deuxième prénom, mais je n'ai pas vraiment le choix, je vais devoir vivre avec toute ma vie. Je dois déjà m'estimer heureux de m'appeler Gabriel Josh, et non Josh Gabriel ( clin d'oeil à Alexia... ). Bref, quoi qu'il en soit, j'ai dix huit ans, et cela fait trois ans que j'ai arrêté de vivre avec ma mère, une humaine nommée Victoria Sullivan, et d'aller au lycée, pour venir au camp des sang-mêlés, ce que je suis, pour m'y entraîner. Oui. Ma vraie nature est celle d'un Demi Dieu.

Je suis né à Londres, malgré les origines françaises de ma mère. En effet, après être tombée enceinte, elle est allée en Grande Bretagne pour venir vivre avec mes grands parents retraités, qui l'aidèrent dans mon éducation, pas du tout au courant du secret qu'elle gardait, seule. Étant une famille tout de même aisée, faisant partie de la bourgeoisie anglaise, je n'ai pas eu de problème concernant tout ce qui était économique, et l'amour que me portait ma mère était hors du commun, autant que ce que je suis.

Mes « problèmes » ont commencé à survenir à l'adolescence. J'étais un élève qui ne se donnait pas à fond, qui se contentait d'avoir la moyenne, et de passer d'année en année, au désespoir de tous mes professeurs et de ma famille. En fait, j'avais une autre occupation. Je préférais dealer. Oui, vous avez bien lu, dealer, dealer de la drogue, et en prendre aussi par la même occasion. Je n'étais pas dans les grands réseaux, mais vendre de la cocaïne à des gosses de riches suffisait à me faire de l'argent en plus de ce que j'avais de mes grands parents. Mais cela ne faisait pas de moi un mauvais garçon rebelle... Disons que je cachais bien mon jeu. Mais comme tout, ce genre d'activité peut attirer des ennuis. De gros ennuis. Comme vous devez le savoir, ce genre de choses marche avec une hiérarchie. Il y a les très très très très grands manitous qui généralement sont liés au terrorisme, puis on descend, doucement. Apparemment, il y avait eu un problème de drogue qui disparaissait... Un voleur interne. Je ne connaissais même pas cette affaire, jusqu'à ce qu'on vienne me prendre dans une rue reculée près de mon lycée. Je ne sus rien de ce qui m'arrivait, coincé comme dans les films dans le coffre d'une berline noire aux vitres teintée, incapable de hurler à cause du foulard avec lequel on m'avait noué la bouche. Quand je pus enfin respirer normalement, j'étais maintenu par deux gars dignes de rugbymen, devant les grands manitous. Croyez moi, je n'ai jamais eu aussi peur. Même maintenant, car avant, je n'étais pas en connaissance de mes pouvoirs.


MANITOU 1 _ T'es bien Gabriel Sullivan ?!

_ Euh... Oui... Je suis... Enfin... C'est... C'est bien moi...

MANITOU 2 _ Avoue ce que tu as fait, et tu auras moins de séquelles.

_ Avouer ? Qu'est-ce que je dois avouer ? J'ai rien fa...!


On me donna un coup de poing. J'étais tellement sonné que je ne peux même pas vous dire qui me l'avait donné, même pas d'où il venait.


MANITOU 1 _ Ne nous mens pas, on a des témoins ! ( nous avons le moyen de te faire parler ! Mdr ) Tu as usé de ta petite bouille d'Ange sur ta supérieure pour accéder aux réserves de cocaïne ! Nous savons tout, alors avoue si tu veux ressortir d'ici vivant !


Vivant ne voulait pas dire sain et sauf. Je ne savais pas quoi faire, je n'avais pas dérobé de la drogue, et même si je l'avais fait, pourquoi en aurais-je pris plusieurs dizaines de kilos, au point que cela se remarque ? Je ne répondis pas, trop tétanisé par la situation. Pour moi, ce genre de chose n'arrivait que dans les films. Désormais, on pouvait me faire gober presque n'importe quoi à ce niveau là, tellement je pensais que ça pouvait être vrai. Mais mon père me sauva. Littéralement. Nous étions dans des sous-sols de je ne sais où, avec des tuyaux d'arrivée d'eaux un peu partout autour de nous. C'était une bonne planque pour menacer quelqu'un... Mais j'ai entendu cette voix dans ma tête. J'ai su bien plus tard de qui elle venait :


« Vas y Gabriel. Concentre-toi sur l'eau qui passe autour de toi. Il y en a assez pour te faire sortir d'ici. Tu es capable de t'en sortir. Concentre-toi... »


Ça faisait un peu Roi Lion quand Mufasa qui est mort dit à son fils « n'oublie pas qui tu es ». Oui, j'ai des références de bébé, mais c'est pas de ma faute si c'est ma génération. Quand je vous raconte mon histoire, j'en ris un peu, mais sur le coup, c'était pas du tout marrant, mais alors pas-du-tout. J'ai écouté ce conseil, sans même savoir ce qui se passait. Alors que je venais de me recevoir un coup de taser dans l'abdomen, je relevais la tête pour fixer un des énormes tuyaux devant moi, essayant d'imaginer l'eau qui passait à l'intérieur avec une force phénoménale... Je me trouvais ridicule, mais quand on est au bord de la mort, on peut croire à tout. J'ai même prié Dieu alors qu'il n'existe pas. J'ai imaginé une scène. Celle où l'eau serait tellement puissante qu'elle ne tiendrait plus, au point de venir à nous pour me libérer.

C'est arrivé. Mon vœu s'était réalisé. L'eau est sorti comme un torrent, emportant les grands manitous qui n'avaient rien vu venir et qui pensaient qu'ils allaient devoir me tuer. Emportant mes deux « gardes du corps » personnels, et moi même. Sauf que j'étais bon en apnée, très très bon, et j'adorais l'eau. Je me laissais conduire par l'eau qui avait comme l'air de vouloir me protéger, m'empêchant de me cogner aux parois, aux autres tuyaux qui n'avaient pas explosés mais qui rejoignaient le gros qui avait lâché. Au début, j'avais trouvé ça bizarre. Le gros aurait du plus tenir que les petits non ? Et bien non, pas pour moi, et pas pour cette fois.

Je rentrais chez moi, tout trempé, expliquant sans le vouloir toute l'histoire à ma mère. Je ne voulais pas, mais ma peur avait pris le dessus : je n'avais que quinze ans après tout. C'est à ce moment là que j'eus toute l'histoire, du début jusqu'à la fin. J'eus même droit à l'explication de ce qui s'était passé dans les sous-sols.


MAMAN _ Gabriel... Il faut que tu saches. Ton père ne nous a pas abandonné, il ne peut juste pas venir nous rendre visite. Il est différent... C'est... C'est un dieu, Gabriel. Ton père est Poséidon. Il est temps que tu le saches maintenant... Ta vie va changer...


Elle s'était approchée de moi, comme désolée de me l'avoir appris seulement à ce moment là. Je lui en voulais un peu c'est sûr. Mais qu'elle ne m'ait rien dit passait après tout :
1- je venais de vivre la pire heure de ma vie avec des maffieux de haute catégorie
2- je venais d'apprendre que mon père était Poséidon
3- je venais de comprendre que mon vœux ne s'était pas réalisé, mais que je l'avais crée.
Elle me donna quelques jours pour me faire à l'idée. Je ne suis pas allé en cours, préférant m'enfermer dans ma chambre pour réfléchir à toute ma vie, à ce qui m'arrivait que jamais je n'aurais pu imaginer un jour. En réalité, je n'en voulais à ma mère, mais à mon présumé père. Il n'avait pas eu le droit de nous voir, soit disant. Mais il n'avait fait son apparition qu'une seule fois en quinze ans. S'il pouvait le faire, il m'avait bien abandonné durant tout ce temps, n'est-ce pas ? Je lui en voulais comme jamais, je le hais presque. Je n'en parlais pas à ma mère, préférant garder mes réflexions pour moi, sachant très bien que même si je me plaignais, cela ne changerait pas le passé. Une semaine après ce fâcheux événement, j'étais au « camp des sang-mêlés ». Ma mère dut me laisser à l'entrée.

Depuis ce jour là, je ne la vois presque plus, une fois tous les mois environ. J'ai passé ces trois dernières année à m'entraîner, maudissant mon père de m'avoir laissé si longtemps avant de revenir dans ma vie pour me donner des conseils, et aimant ma mère pour avoir eu le courage de se laisser quasiment abandonner par le père de son seul enfant. Enfin, plus maintenant. Elle a rencontré un homme il y a peu, avec qui elle a l'air d'être heureuse. Je ne le connais pas très bien, mais elle est retombée enceinte, à trente huit ans ! Et j'ai bien l'impression qu'il va rester, c'est ce qui m'importe. Cela me fera mon troisième demi-frère/sœur, car j'ai fait la connaissance de Pandore qui est au camp depuis toute jeune. Edward, mon demi frère, vient tout juste d'arriver : il est l'aîné. Je ne parle pas d'eux à ma mère, vu que ma demi-soeur a le même âge que moi... Cela risquerait de créer quelque tensions... Quoi qu'il en soit, je pourrais presque faire parti des anciens au camp maintenant... J'y ai ma toute petite réputation, on me connaît comme le frère de Pandore. L'un des fils de Poséidon.

Your RP

Je rampe, j'ai mal. Elles sont folles, je suis fatigué de fuir. J'ai traversé tout le bois en courant, m'écorchant les genoux en tombant plusieurs fois, me déchirant la joue avec les branches, me tordant la cheville en ayant pas vu un petit trou. Elles me poursuivaient, elles voulaient me démembrer, me... Me manger ! Je ne suis pas un sanglier qu'on découpe pour se nourrir ! Le pire, c'est qu'elle ne voulait même pas me cuire. Honnêtement, je ne sais pas ce que je préfère... Brûler vif ou voir des femmes manger peu à peu les différentes parties de mon corps ? Bonne question, mais je la chassais de ma tête, essayant de penser à ce que je devais faire. Mais je n'y arrivais pas. Je pensais seulement à ce que j'avais fait. A ce qui s'était passé.

J'étais tranquillement installé au bord d'un petit ruisseau qui passait étrangement au milieu du bois, me reposant un peu du dur entraînement. J'avais marché sans but précis, avant de trouver ce petit endroit presque paradisiaque. J'étais assis, m'amusant mentalement avec l'eau en face de moi, quand je sentis quelque chose m'attraper par le cou. Je me retournais vivement, et voyais autour de moi plusieurs femmes qui avaient l'air ivres. Je ne les connaissais pas, et mis un long moment ( enfin ça devait être une seconde, mais sur le coup, j'ai trouvé le temps long ) à me rendre compte qu'elles n'étaient pas humaines : des Ménades. J'ai commencé à paniquer, croyez-moi, car ma dernière envie était bien de me retrouver dans des assiettes, à être mangé avec quelques ( beaucoup ) de verres de vin ! Je m'étais immédiatement levé, brandissant immédiatement et agilement mon épée. Je ne savais pas vraiment pourquoi je restais là... J'étais seul contre trois Ménades après tout... Elles eurent une sorte de petit rire, et se jetèrent sur moi en même temps. Paniqué, je commençais d'abord à me défendre avec mon arme, mais bien vite, je me rendis compte que cela ne servirait à rien et que, rapidement, je finirais en carpaccio et en tartare. Ni une, ni deux, j'usais de mon don sur le ruisseau, créant un bœuf géant ( un boeuf parce-que j'avais peur de finir en steak ) pour les emporter le temps que je me mette à fuir. Cela n'allait pas durer longtemps...

En effet, car elles se mirent à me poursuivre dans la forêt. Je courais de toute mes forces, essayant de prendre de l'avance en cas de n'importe quel incident. J'avais peur. Peur de mourir si jeune, à dix huit ans. Je n'avais plus vraiment toute ma tête, trop concentré par le fait que je devais sortir vivant d'ici. Je les entendais de moins en moins, mais j'étais tout de même bien abimé. Alors que je regardais un peu derrière moi pour voir où elle en était, je ne vis pas le tpetit trou dans lequel je me tordais la cheville. Je criais un peu, et la ressortais aussi vite que possible, remarquant que je ne pouvais même plus la poser au sol sans avoir mal. Là, ma panique fut à son apogée. Il fallait que je continue à avancer, surtout que je ne savais pas où elle était. La seule technique était de ramper. J'avais mal au bras, j'avais le visage en sang, le pantalon déchiré, mais je devais vivre. J'avançais, vite, le plus vite possible. Aussi vite qu'une jambe et deux bras me le permettaient.

J'étais maintenant sur la plage. Je me laissais rouler jusqu'au bord de l'eau, où je pus enfin guérir de mes blessures. Pouvoir rebouger ma cheville me fit un bien fou, et je me relevais pour regarder autour de moi, surtout en direction des bois. J'étais vivant. Je ne finirais pas dans une assiette.

Behind the computer

Parce que ton clavier n'écrit pas tout seul !

Nom; Vous êtes malades mentaux ! Prenom; Flora Surnom(s); Pony, et plein d'autre, mais j'ai de l'amour propre, j'veux pas me foutre la honte dés le début ! Age; 16 ans Ou vous nous avez connus ? Par « Azuline » ! Votre avis ? J'me serai pas inscrite si je trouvais le forum nul. C'est votre dernier mot Jean-Pierre ? C'est pas ça la phrase !!! »C'est votre dernier mot ? » C'est mon dernier mot Jean-Pierre !

Bienvenue demi- frère Bonne chance pour la fin de ta présentation & j'espère que tu t'amuseras bien parmi nous.

Ta situations RP sera la suivante, tu devra nous rédiger un texte de quinze ligne minimum .
Et tu devras imaginer que tu es au bord de la plage, tu sors d'un dur combat avec plusieurs ménades qui t'on affaiblis bien que tu es réussi à les faire fuir.